L'une des principales préoccupations est au niveau des taxes. Aux États-Unis, les taux d'imposition peuvent être plus favorables pour les organisations sportives et leurs joueurs par rapport au Canada.
Les équipes et les joueurs peuvent bénéficier de taux d'imposition globalement plus bas, ce qui leur permet de conserver une part plus importante de leurs revenus.
En revanche, au Canada, les taux d'imposition sont généralement plus élevés, ce qui peut rendre moins attrayant le fait de jouer ou d'exploiter une équipe dans ce pays. Cela s'applique non seulement aux joueurs, mais aussi aux propriétaires d'équipes et aux revenus générés par les franchises.
Par exemple, les équipes peuvent rencontrer des difficultés financières supplémentaires en raison de charges fiscales plus lourdes, ce qui peut limiter leur capacité à attirer des investissements ou à générer des profits comparables à ceux réalisés aux États-Unis.
Selon le schéma récemment publié par Renaud Lavoie, nous pouvons voir que les taux de taxes les plus élevés sont dans les provinces canadiennes notamment le Québec, l'Ontario et la Colombie-Britannique avec 53,5 et 53,3% de taxes.
Malgré le soutien passionné des fans et une demande apparente pour le hockey professionnel dans la région, les considérations financières, y compris les implications fiscales, peuvent jouer un rôle significatif dans la décision des propriétaires de franchises et des ligues de ne pas favoriser un retour au Canada.
De plus, le déclin des standards de vie au Canada est une préoccupation croissante. Si le coût de la vie augmente de manière significative et que les infrastructures publiques, comme les transports et les soins de santé, ne parviennent pas à répondre aux attentes comparativement à leurs homologues américaines, cela peut compromettre l'attrait global du pays pour les ligues sportives.
Les équipes ont besoin d'installations modernes et efficaces pour s'entraîner, jouer et soutenir leurs joueurs et leur personnel. Un déclin dans la qualité de ces infrastructures peut rendre les villes canadiennes moins compétitives sur le marché international des sports professionnels.
Toujours selon le schéma publié par Renaud Lavoie, la qualité de vie aurait nettement diminué au Canada et placerait les États-Unis devant. Ce facteur peut également contraindre le retour des Nordiques.
Les ligues sportives professionnelles recherchent non seulement une base de fans passionnés, mais aussi des possibilités de revenus à travers les droits de diffusion, les parrainages et les ventes de billets.
Si le pouvoir d'achat des consommateurs diminue au Canada en raison d'une économie plus faible et de coûts de vie plus élevés, cela peut compromettre la capacité des équipes à générer des revenus suffisants pour soutenir leurs opérations et leur compétitivité à long terme.
Le tableau partagé par Renaud Lavoie:
SONDAGE | ||
21 JUILLET | 676 RÉPONSES Non-retour des Nordiques de Qc: Renaud Lavoie révèle la vraie raison de Bettman Croyez-vous encore au retour des Nordiques? | ||
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Non | 486 | 71.9 % |
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