Florian Xhekaj dévoile la raison de sa prise de masse
Crédit photo: Habs Eyes on the prize
Florian Xhekaj se présente au camp du Canadien de Montréal avec 220 livres sur la balance et une confiance retrouvée grâce à son entourage familial.
Le jeune attaquant du Canadien de Montréal, Florian Xhekaj, a fait sourire les journalistes et les partisans en partageant une remarque pleine d'authenticité. De retour au camp après l'été, il a révélé qu'il avait pris du poids et gagné en puissance grâce aux plats de sa mère.
Dans une vidéo diffusée par l'équipe, Xhekaj a résumé la situation avec humour:
« Oui, je suis à 220 maintenant, donc la cuisine de ma mère m'a bien nourri, j'ai pris du poids et je me sens super bien. »
Une réponse simple, mais révélatrice, qui montre sa bonne humeur et surtout sa confiance avant une saison décisive pour son avenir.
Florian Xhekaj revient plus lourd, plus fort et prêt à se battre pour une place avec le Canadien de Montréal
À 220 livres, le jeune attaquant de 19 ans affiche une carrure impressionnante. Cette prise de masse pourrait l'aider à mieux s'imposer physiquement, un atout précieux dans une organisation où la compétition est féroce pour gagner une place dans l'alignement.
Déjà reconnu pour son style énergique et son engagement, Xhekaj ajoute maintenant une dimension physique qui pourrait faire la différence dans son jeu.
Ses performances en junior avaient déjà montré un joueur combatif et capable de contribuer offensivement. Avec ce surplus de force et une confiance renouvelée, il pourrait rapidement grimper dans la hiérarchie des espoirs du CH.
Cette anecdote met aussi en lumière l'importance de son entourage familial. Sa mère, Simona, est régulièrement mise de l'avant dans la communauté des partisans, et cette mention a contribué à renforcer la sympathie envers le clan Xhekaj.
Je suis persuadé que l'influence du jeu robuste de son grand frère, Arber, pèse dans la balance (sans mauvais jeu de mots).
Je trouve aussi que ce genre de détail donne un côté humain aux jeunes joueurs, et dans le cas de Florian, ça montre qu'il garde les pieds sur terre malgré la pression d'évoluer à Montréal.
