Martin St-Louis tranche: Xhekaj directement concerné
Crédit photo: Eric Bolte-Imagn Images
À Vancouver samedi, Arber Xhekaj n'a pas vu la glace en troisième période.
Le Canadien l'a emporté 4-3 contre les Canucks, dans un match où
Ivan Demidov a brillé et où
Nick Suzuki a prolongé sa séquence.
Mais l'autre histoire, c'est la gestion d'Xhekaj, limité à 6:37 de temps de jeu et puni à deux reprises. À 24 ans, le « Shérif » s'est retrouvé à regarder la fin du match sur le banc pendant que le CH comblait l'écart.
En deuxième, Xhekaj a écopé d'une pénalité qui a changé le rythme. Par la suite, les unités spéciales ont pris beaucoup de place et l'entraîneur a serré son banc.
Résultat: aucune présence en troisième période pour le numéro 72, malgré une fin de match sous haute tension.
Un message clair et une victoire importante
Pendant que Xhekaj restait au banc, Suzuki a marqué sur l'avantage numérique pour garder sa séquence vivante, et
Juraj Slafkovsky a ajouté un but et une passe.
Mike Matheson a inscrit le but gagnant tard en troisième. Demidov a récolté deux points et
Jakub Dobes a signé 28 arrêts, poursuivant son départ parfait.
Ce choix derrière le banc ne tombe pas du ciel. Dans des situations similaires, Martin St-Louis a déjà expliqué que le flot des avantages numériques peut garder un défenseur à l'écart plus longtemps que prévu.
Samedi, c'est exactement ce qu'on a vu, et la décision a tenu jusqu'à la fin du match.
La situation d'Xhekaj demeure à surveiller de près. Avec un temps de jeu réduit depuis le début du voyage et une utilisation fluctuante.
À Montréal, quand un défenseur manque toute une période, ça fait parler et ça en dit long.
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