«Voici un gars facile à aimer. Les médias l'apprécient. La NHL l'aime bien. Quels que soient les jeux sportifs auxquels vous jouer, il est sur la couverture de ces jeux. C'est un garçon très sociable et sympathique, qui est partout. Il est comme un papillon, il parle à tout le monde dans le vestiaire. Pour moi, ces qualités, quand on attire l'attention, il faut les convertir en leadership. Et si ce leadership consiste à être génial et à essayer d'être excellent à chaque match, alors vous êtes dans une situation gagnant-gagnant.
Mais si vous sabotez cela en prenant des pénalités stupides ou en créant des revirements plusieurs fois et que vous finissez par changer le momentum du match négativement, alors vous devez l'assumer aussi. Cela a été un processus avec lui, mais je pense que tous ceux qui attirent l'attention ont la possibilité de créer une image et une norme pour l'équipe et s'ils ne le font pas, ils manquent, encore une fois, de créer une norme non négociable et j'en ai parlé à Z et c'est à lui de mettre ça en oeuvre. »